Du 26 février au 1er mars, les bahá’ís du Canton de Neuchâtel se joignent aux bahá’ís du monde entier pour célébrer la fête d’Ayyám-i-Há en passant du temps avec leurs amis et leur familles, en aidant ceux qui sont dans le besoin par des actes charitables et en répandant de la joie par des cadeaux.
Connus aussi comme les Jours intercalaires, les Ayyám-i-Há ne sont pas inclus dans les dix-neuf mois de dix-neuf jours du calendrier bahá’í qu’ils ajustent pour qu’il corresponde aux 365 jours de l’année solaire (et grégorienne). Ils servent aussi comme une période de préparation pour le jeûne annuel bahá’í (du 2 au 20 mars), pendant lequel les bahá’ís s’abstiennent de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et pour Naw-Rúz (le 21 mars) le Nouvel An bahá’í, célébré le premier jour du printemps.
Au sujet de la période d'Ayyam-i-Ha, Bahá’u’lláh a écrit :
« Au cours de ces journées, il convient au peuple de Bahá d’organiser de bons repas pour eux, pour leur famille et, au-delà, pour les pauvres et les indigents, puis de saluer et de glorifier leur Seigneur, de chanter ses louanges et de magnifier son nom, dans la joie et l’allégresse [...]. »
Connus aussi comme les Jours intercalaires, les Ayyám-i-Há ne sont pas inclus dans les dix-neuf mois de dix-neuf jours du calendrier bahá’í qu’ils ajustent pour qu’il corresponde aux 365 jours de l’année solaire (et grégorienne). Ils servent aussi comme une période de préparation pour le jeûne annuel bahá’í (du 2 au 20 mars), pendant lequel les bahá’ís s’abstiennent de manger et de boire du lever au coucher du soleil, et pour Naw-Rúz (le 21 mars) le Nouvel An bahá’í, célébré le premier jour du printemps.
Au sujet de la période d'Ayyam-i-Ha, Bahá’u’lláh a écrit :
« Au cours de ces journées, il convient au peuple de Bahá d’organiser de bons repas pour eux, pour leur famille et, au-delà, pour les pauvres et les indigents, puis de saluer et de glorifier leur Seigneur, de chanter ses louanges et de magnifier son nom, dans la joie et l’allégresse [...]. »