Neuchâtel : Une cinquantaine de participants ont fêté les Ayyám-i-Há samedi 26 février dans une salle paroissiale à Neuchâtel. La fête a débuté par l'explication d’Ayyám-i-Há et la lecture d'une prière d'unité.
Les « Ayyám-i-Há », aussi appelés les jours intercalaires sont une période de quatre ou cinq jours du calendrier bahá’í. Comme stipulé par Bahá’u’lláh, le fondateur de la foi bahá’íe, dans son Kitáb-i-Aqdas (« le Plus Saint Livre »), les jours intercalaires s’insèrent entre le dix-huitième et le dix-neuvième mois. Ils débutent au coucher du soleil le 25 février et se terminent le 1er mars au coucher du soleil. Ces journées de célébration sont généralement caractérisées par l’hospitalité et la générosité et dans les quartiers où ils habitent partout au pays, les bahá’ís ouvrent leur maison à de joyeuses activités familiales et sociales. L'inspiration de ces activités vient des paroles de Bahá’u’lláh:
"Au cours de ces journées, il convient au peuple de Bahá d’organiser de bons repas pour eux, pour leur famille et, au-delà, pour les pauvres et les indigents, puis de saluer et de glorifier leur Seigneur, de chanter ses louanges et de magnifier son nom, dans la joie et l’allégresse." (Le Kitáb-i-Aqdas, paragr. 16)
La fête était belle. Les murs de la salle ont été décorés de ballons de différentes couleurs. Le portrait de ‘Abdu’l-Bahá trônait à côté de la tablette enluminée d’Ayyám-i-Há sur une table et exposés aux yeux de tous.
Un atelier de peintre intitulé "la Terre n'est qu'un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens" a été organisé pour les enfants qui ont peint les surfaces en papier à leur disposition et y ont collé des silhouettes représentant des personnages de différentes nationalités.
La musique et le chant faisaient partie intégrante de la Fête. Emilie Semple a joué au violon un morceau de Bach. Ensuite, Emilie et son amie Lucie ont chanté des chansons d’Uganda à la grande joie des participants. Ensuite, Sara Habibi a chanté avec les enfants et a fait participer l'assistance qui s'est bien prêtée au jeu.
Ce fut aussi une fête de charité. Cette année, la communauté de Neuchâtel a décidé d'aider l'organisation d'entraide « Mona Foundation » (www.monafoundation.org) qui œuvre en onze pays, y compris à Haïti. Elle a ouvert dans ce pays quatre écoles qui offrent la nourriture, l'instruction, l'éducation et la formation aux femmes et aux enfants défavorisés. Par miracle et une bonne construction, ces écoles fut parmi des rares édifices à ne pas être détruits par le séisme, ce qui a multiplié l'effectif de l'école et augmenté les besoins financiers pour assumer cette lourde charge.
Apprenant que nous avons décidé d'aider Mona Foundation, sa directrice a envoyé un DVD détaillant les activités de l'école et une lettre d'introduction qui a été lue à l'assistance.
Une boîte a été mise à disposition pour récolter les fonds pour cette école. Grâce à la générosité des donateurs, nous avons récolté la somme de 700 Fr. que la communauté de Neuchâtel a arrondi à 1000 Fr.
Ce fut une vraie fête d'amitié et de partage. En effet, nous avons partagé avec nos invités le repas du soir constitué de mets variés, confectionnés avec amour par des volontaires, dans une ambiance emprunte de joie et de bonne humeur.
Nous tenons à remercier du fond du cœur tous les adultes et les enfants qui ont œuvré de près ou de loin à la réussite de cette belle fête.
Les « Ayyám-i-Há », aussi appelés les jours intercalaires sont une période de quatre ou cinq jours du calendrier bahá’í. Comme stipulé par Bahá’u’lláh, le fondateur de la foi bahá’íe, dans son Kitáb-i-Aqdas (« le Plus Saint Livre »), les jours intercalaires s’insèrent entre le dix-huitième et le dix-neuvième mois. Ils débutent au coucher du soleil le 25 février et se terminent le 1er mars au coucher du soleil. Ces journées de célébration sont généralement caractérisées par l’hospitalité et la générosité et dans les quartiers où ils habitent partout au pays, les bahá’ís ouvrent leur maison à de joyeuses activités familiales et sociales. L'inspiration de ces activités vient des paroles de Bahá’u’lláh:
"Au cours de ces journées, il convient au peuple de Bahá d’organiser de bons repas pour eux, pour leur famille et, au-delà, pour les pauvres et les indigents, puis de saluer et de glorifier leur Seigneur, de chanter ses louanges et de magnifier son nom, dans la joie et l’allégresse." (Le Kitáb-i-Aqdas, paragr. 16)
La fête était belle. Les murs de la salle ont été décorés de ballons de différentes couleurs. Le portrait de ‘Abdu’l-Bahá trônait à côté de la tablette enluminée d’Ayyám-i-Há sur une table et exposés aux yeux de tous.
Un atelier de peintre intitulé "la Terre n'est qu'un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens" a été organisé pour les enfants qui ont peint les surfaces en papier à leur disposition et y ont collé des silhouettes représentant des personnages de différentes nationalités.
La musique et le chant faisaient partie intégrante de la Fête. Emilie Semple a joué au violon un morceau de Bach. Ensuite, Emilie et son amie Lucie ont chanté des chansons d’Uganda à la grande joie des participants. Ensuite, Sara Habibi a chanté avec les enfants et a fait participer l'assistance qui s'est bien prêtée au jeu.
Ce fut aussi une fête de charité. Cette année, la communauté de Neuchâtel a décidé d'aider l'organisation d'entraide « Mona Foundation » (www.monafoundation.org) qui œuvre en onze pays, y compris à Haïti. Elle a ouvert dans ce pays quatre écoles qui offrent la nourriture, l'instruction, l'éducation et la formation aux femmes et aux enfants défavorisés. Par miracle et une bonne construction, ces écoles fut parmi des rares édifices à ne pas être détruits par le séisme, ce qui a multiplié l'effectif de l'école et augmenté les besoins financiers pour assumer cette lourde charge.
Apprenant que nous avons décidé d'aider Mona Foundation, sa directrice a envoyé un DVD détaillant les activités de l'école et une lettre d'introduction qui a été lue à l'assistance.
Une boîte a été mise à disposition pour récolter les fonds pour cette école. Grâce à la générosité des donateurs, nous avons récolté la somme de 700 Fr. que la communauté de Neuchâtel a arrondi à 1000 Fr.
Ce fut une vraie fête d'amitié et de partage. En effet, nous avons partagé avec nos invités le repas du soir constitué de mets variés, confectionnés avec amour par des volontaires, dans une ambiance emprunte de joie et de bonne humeur.
Nous tenons à remercier du fond du cœur tous les adultes et les enfants qui ont œuvré de près ou de loin à la réussite de cette belle fête.